La séance d'exploration au cœur de la Sensualité et de l'érotique Conscientisé puise sa source au cœur de cette puissante énergie mysterieuse..."La Kundalinī"...cet axe dressé au centre même de la personne et de l'Uni-Vers...qui est à l'origine de la puissance de l'Homme dont elle draine et épanouit la totalité des énergies.
La symbolique initiatique du chef d'œuvre de "La Dame à la Licorne" qui orne de sa douce présence mon Antre, insuffle ici toute sa saveur au coeur même des Tantra...on y goûte sa divine Quint'Essence en entrant dans la danse des 5 SENS... et des éléments.
Ainsi "À MON SEUL DÉSIR " ... le 6ème Sens se révèle à ses divinités de la conscience - ces maîtresses des organes sensoriels - savourent l'univers transformé en Nectar.
L'ambroisie des Sens...la flamme du Cœur s'embrase de notre Feu conscience 🐉❤️🔥🌱
Une résonance en mon Âme ...l'espace dans lequel s'oeuvrent les initiations soins Tantra que je propose en exploration dans "Les Arts du Temple de la Déesse": la Voie d'Eros, Sensualité et érotique conscientisé...
Qui n'a rien de frivole pour qui sait lire entre les lignes et connaît la fréquence vibratoire que je navigue et transmet par résonance... ainsi l'Âme Agit fait son Œuvre à travers le corps, qui se fait l'Athanor de transe-mutation du feu du cœur au service du Vivant.
je m'incline avec délectation et humilité...en gratitude au service de la Shakti...du Vivant...le frémissement SPANDA.
Je vous accueille Mère-Veilleuses douces-heures...pour ce délicieux voyage à la rencontre de ...vous m'aime ❤️🔥🐉🙏⚘️✨️🌱
La maîtrise de l'abandon au souffle, à l'instant est LA CLEF essentielle 🔑🔑🔑
Comprendra...qui pourra 🙏🌱🐉🔑
On ne voit bien qu'avec le coeur....
Que le meilleur Soit ✨️
Je nous aime,
Stéphanie de L'Ô de MoonShiva
De mon prénom de Mage: ANURAGA...l'Âmoureuse Uni-Vers-Elle.
Je vous partage quelques extrait tiré du livre:
La Kundalinī, l'énergie des profondeurs par Lilian Silburn ( Directeur de recherches honoraire au C.N.R.S)
" Effervescence et Ferveur "
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❤️🔥🐉🙏⚘️ Échappant à la dualité du choix et de l'objectivité, les sens éveillés déploient librement leur activité et d'une manière impersonnelle; le corps étant ainsi assouvi le yogin accède à la félicité cosmique.
C'est pourquoi le Vijňãnabhairavatantra recommande:
" Qu'on fixe la pensée qui n'est plus que plaisir dans l'intervalle du feu et de poison.
Elle s'isole (alors) ou se remplit de souffle et (l'on s'intègre) à la félicité de l'amour."
( Les termes techniques feu ( vahni) et poison (visa) désignent respectivement le début et la fin de l'acte sexuel et, sur un autre plan, la contraction et l'épanouissement de l'énergie durant la montée de la Kundalini...c'est à ce dernier plan que j'oeuvre lors de mes séances d'initiations soins par le "massage Tantra))
Il précise encore:
" La jouissance de la réalité du Brahman (qu'on éprouve) au moment où prend fin l'absorption dans l'énergie fortement agitée par une union avec une parèdre ( śakti), c'est elle qu'on nomme jouissance intime."
Quand la félicité liée au plaisir sensible envahit toute la personne et devient jouissance mystique intime, elle transcende le désir et purifie la pensée qu'elle apaise.
Ainsi, selon le grand adage des Tantra, ce qui pour l'homme ordinaire est facteur de lien se révèle pour le siddha facteur de libération.
Au cœur même de l'esservescence propre au désir sexuel, on remonte grâce à l'ascension de la Kundalinī jusqu'au jaillissement de l'énergie, jusqu'à sa source vibrante.
C'est là le secret de profonds Tantra comme le Parãtrimsikã, secret révélé par Abhinavagupta dans la glose qu'il en fit.
Le corps est donc valorisé en tant qu'instrument de réalisation car les énergies ayant franchi les frontières individuelles s'étendent à l'univers et sont appelées de ce fait des "divinités".
Abhinavagupta dit à ce sujet:
" Toutes les choses jetées avec violence dans le feu qui brûle au sein de notre propre conscience abandonnent leur différenciation en alimentant sa flamme de leur propre énergie.
Dès que la nature des choses est dissoute par cette cuisson hâtive, les divinités de la conscience - ces maîtresses des organes sensoriels - savourent l'univers transformé en nectar.
Assouvies, elles identifient à elles-mêmes Bhairava, firmament de la conscience, Dieu demeurant dans le cœur, Lui, la plénitude."
D'après la glose, les divinités prennent conscience de l'univers comme d'un reflet de la suprême Conscience.
Le même rapport s'établit entre le sujet conscient et l'objet dont il jouit, car les divinités, bien que reposant dans l'indifférencié ont des fonctions et des activités variées relatives aux divers organes sensoriels tournés vers leur objet respectifs. ⚘️🙏🐉❤️🔥
La multiplicité des aspects évoqués et la variété des images qui les expriment permettent cependant de comprendre comment l'expérience privilégiée du yogin déploie toutes les dimensions de la vie à partir de la conscience ordinaire que l'énergie Kundalini arrache à la dualité, unifie, universalisent et transfigure.
C'est le propre de l'expérience de la Kundalini en effet que de faire converger les éléments dispersés de la conscience ordinaire dans l'unité de la vibration originelle et la simultanéité des niveaux différenciés.
Elle y conduit sans rupture, sans hiatus, simplement en faisant s'épanouir et se succéder la totalité des plans jusqu'à ce que l'énergie consciente circule librement d'un niveau à l'autre sans déséquilibre ni dualité.
Ce déploiement n'est ni imaginaire ni spéculatif, même si le langage qui l'exprime recours à la poésie et à la force hermétique du symbole.
Avec l'ascension de la Kundalini on surprend en quelque sorte la remontée mystérieuse grâce à laquelle l'énergie mondaine devient prise de conscience omnipénétrante.
Les étapes de cette transformation qui s'opèrent à même le corps, la pensée et la parole tiennent à la force d'intériorisation et d'unification de l'énergie Kundalini dont on parle chaque fois qu'il y a résolution d'une dualité, fusion entre l'énergie et Shiva.
Quel que soit le niveau où elle s'instaure, la dualité se dissout dans une unité génératrice de plénitude qui sert de point de départ à l'étape suivante.
Aussi l'unité se réalise-t-elle totalement par une escalade de l'intensité de Bindu en Bindu jusqu'à ce que tous n'en fassent plus qu'un de bas en haut.
La fonction unificatrice de la Kundalini suivi d'étape en étape met de plus en valeur sa puissance d'intégration, car elle n'élimine aucun plan ni aspect mais les intériorise un à un pour les imprégner de pure conscience, une fois celle-ci atteinte.
Elle opère donc dans les grands foyers de vie que sont les allées est venues du souffle, la pulsation du cœur, la vibration de l'énonciation sonore et la vigueur sexuelle.
Grâce à l'intériorisation du souffle, ils sont peu à peu animés, pacifié, purifiés, jusqu'à ce que chacun vibre à la jonction des deux pôles qui le caractérisent.
Dès que cette jonction est établie, la concordance et l'harmonie qui s'installe entre les centres, ainsi que la félicité propre à chacun créent la fusion de toutes les énergies purifiées mais encore individuelles.
Cette phase correspond à la voie de l'activité.
Sur ce fond d'équilibre des énergies apaisées, la Kundalini qui se dresse intensifie son action unificatrice.
Sous le prétexte d'une émotion violente, frayeur ou jouissance, libérée de notions, les énergies convergent d'un coup vers le centre unique, élargissant les limites individuelles jusqu'à la fusion du sujet et de l'objet.
L'alliance du son, des souffles, de la parole, de la connaissance intuitive donnent à ce stade connaissance et maîtrise des énergies, plénitude de l'Union dans l'élan de laquelle fusionnent centres secondaires et centre principal, adorateur et divinité, Shiva et Shakti.
Les organes purifiés accèdent à l'universel et peuvent dès leur servir de tremplin pour le passage suprême à l'unité de la pure Conscience quand l'énergie cognitive devient pure conscience de soi.
C'est là, le couronnement de la voie de l'énergie.
De cette union jaillit en effet l'accès à l'unité de la voie divine; l'univers se déploie à nouveau mais transfiguré et par-delà intériorité et extériorité.
Il n'y a plus dès lors de Kundalini en tant que mise en œuvre de l'énergie, plus de perception de la vibration qu'on ne peut distinguer de l'immuable,
le spanda est en fondu en lui.
L'individu, l'énergie et Shiva ne font qu'un; corps et univers réapparaissent, distincts, sur le fond de la suprême Conscience où tout est intégré.
L'énergie cosmique se déploie librement à travers les grands foyers de vibration, les imprégnants de la félicité de la conscience.
Les organes individuels fonctionnent d'une manière si impersonnelle qu'il n'y a plus d'obstacle à aucune forme d'unité et dans un tel dynamisme qu'on ne peut parler de coïncidence statique, de microcosme et de macrocosme.
La différence essentielle réside entre les énergies endormies, séparées, extériorisées et les énergies unifiées, intériorisée.
Ainsi le yogin, maître de ses énergies grâce à la Kundalini, révèle que l'homme détient en lui-même la source et le réservoir inépuisable de sa souveraineté, de sa félicité comme de son efficience.
Et c'est précisément avec l'efficience mystique que culmine la grande fonction unifiante de la Kundalini, clef de voûte de la transmission.
Grâce à la puissance et à la subtilité de son énergie divinisée le guru ( enseignant) intériorise et vivifie progressivement les énergies dispersées du disciple dont il éveille la Kundalini à la manière, pourrait-on dire, dont un instrument à corde communique sa résonance alentour.
Jouant de sa propre Kundalini comme d'un diapason, le maître donne la tonalité fondamentale, il transmet "la fréquence juste".
Le registre de son énergie kundalinienne couvrant toutes les gradations harmoniques de la vibration fondamentale il rend le disciple capable de résonner "juste" à l'échelon harmonique qui lui correspond, il lui communique à la fois ébranlement et tonalité harmonisés.
Accordée ainsi sur le maître et par lui, la Kundalini du disciple s'élève de roue en roue ( chakras, centres énergétiques) véritable montée "en tonalité " vers les harmoniques de plus en plus subtiles du SPANDA.
Comme un instrument de musique accordé peut en faire vibrer d'autres à l'unisson, par simple résonance, le maître fait alors sans cesse résonner le cœur éveillé du disciple, transformant de la sorte la qualité "d'écoute" et la finesse de son ouïe.
Le disciple sent sa capacité de résonance s'élever, son registre harmonique s'amplifier et il reçoit avec une conscience qui va s'élargissant ce que le maître lui donne jusqu'à la fusion intégrale dans l'unité où toutes les notes sont rassemblées en une seule, maître et disciples devenant le même instrument, la même musique, la même conscience.
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